Bon, il faut bien une première entrée. Une première publication. Sur une nouvelle plateforme. Au secondaire, j’avais un LiveJournal. J’y ai trouvé des amies internet, certaines avec qui je suis encore en contact à ce jour. À mon école, je parlais à tout le monde, mais je n’étais pas particulièrement proche de personne. Mes vraies amies allaient à la polyvalente ou à l’école de musique. Moi, j’allais à l’école de filles. J’étais ok avec ça, mais rendu à la 5e année d’isolation, j’étais pas mal tannée de me sentir incomprise, alors j’allais passer chaque midi dans le local d’art plastique à faire toutes sortes de projets personnels. On pouvait payer un frais pour l’année, qui donnait accès à tout le matériel possible: aquarelle, céramique, sculpture, plâtre, gouache, etc. Mais quand j’ai eu un compte LiveJournal, j’ai commencé à vouloir utiliser un ordinateur sur l’heure du dîner. Je me rendais donc à la bibliothèque, où j’écrivais des entrées de journal. Ou encore, je consultais les publications de mes amies américaines, des liens que j’avais tissé en passant du temps sur un forum de discussion sur mon band préféré de l’époque, The Dresden Dolls.
le début
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Bon, il faut bien une première entrée. Une première publication. Sur une nouvelle plateforme. Au secondaire, j’avais un LiveJournal. J’y ai trouvé des amies internet, certaines avec qui je suis encore en contact à ce jour. À mon école, je parlais à tout le monde, mais je n’étais pas particulièrement proche de personne. Mes vraies amies allaient à la polyvalente ou à l’école de musique. Moi, j’allais à l’école de filles. J’étais ok avec ça, mais rendu à la 5e année d’isolation, j’étais pas mal tannée de me sentir incomprise, alors j’allais passer chaque midi dans le local d’art plastique à faire toutes sortes de projets personnels. On pouvait payer un frais pour l’année, qui donnait accès à tout le matériel possible: aquarelle, céramique, sculpture, plâtre, gouache, etc. Mais quand j’ai eu un compte LiveJournal, j’ai commencé à vouloir utiliser un ordinateur sur l’heure du dîner. Je me rendais donc à la bibliothèque, où j’écrivais des entrées de journal. Ou encore, je consultais les publications de mes amies américaines, des liens que j’avais tissé en passant du temps sur un forum de discussion sur mon band préféré de l’époque, The Dresden Dolls.